Un atelier d’évaluation du plan d’action 2023 du projet » La dimension sociale de la transition écologique » a été ouvert jeudi 15 février 2024 à Agboville et va aussi servir de cadre d’élaboration des projections sur l’année 2024 et au-delà.
« Je souhaite que les conclusions des travaux de cette rencontre puissent prendre en compte les véritables priorités nationales afin de contribuer au développement économique inclusif et durable de la Côte d’Ivoire et de la sous-région », a indiqué le représentant de la directrice du Bureau pays de l’Organisation internationale du travail (OIT), Kambale Kavunga.
M. Kavunga a rappelé que ce projet permettra de consolider le travail en cours en Côte d’Ivoire dans le domaine de la promotion des emplois verts.
Il a réitéré ses remerciements aux membres du Comité national de pilotage du projet et aux membres de l’outil d’évaluation des emplois verts, GJAM, pour leurs engagements constants et pour le travail « considérable abattu, qui a donné des résultats plus que satisfaisants ».
Le représentant du préfet de région, Séka Fidèle, a signifié aux membres du comité de pilotage qu’ils sont essentiels pour donner une orientation stratégique à la mise en œuvre du projet au niveau national.
« Il s’agira pour vous de rendre possible une transition écologique juste en Côte d’Ivoire par une meilleure compréhension de la nature et de l’impact des changements climatiques sur l’emploi et les revenus », a-t-il relevé.
Saluant la tenue de cet atelier, M. Séka a remercié la directrice du Bureau pays de l’OIT pour ses efforts en vue de la mise en œuvre de ce projet qui lutte contre le changement climatique et promeut la justice sociale et le travail décent.
Le projet sur « la dimension sociale de la transition écologique » est financé par le gouvernement français et devrait se poursuivre jusqu’en décembre 2024. Ce projet pilote est mis en œuvre au Nigeria, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
L’objectif général est de mobiliser les gouvernements, les organisations de travailleurs et d’employeurs ainsi que les partenaires du développement pour accélérer l’action climatique grâce au travail décent et à la transition juste pour tous.
Source : www.aip.ci