A cette ère du Développement Durable, le devenir des espèces végétales et animales est un défi pour le botaniste. La forêt ivoirienne est en voie de disparition, de 16 millions d’hectares auparavant, le couvert végétal ivoirien est passé à 3 millions d’hectares. Avec cette disparition avancée du couvert végétal ivoirien, nous sommes bien amenés à nous interroger sur l’impact que cela pourrait avoir sur le changement climatique et le rôle que pourrait jouer le botaniste à ce niveau, vu qu’il occupe une place fondamentale dans le processus de conservation et de préservation de la flore.